Léonard "Léo" Blackwood - Je voudrais déjà être roi !

Caractéristiques physiques- Cheveux court, en bataille
- Presque toujours dans un uniforme impeccable
  Taille/Corpulence 1m85, une grande taille issu de grand ancêtres
84 kg, il fait attention à sa ligne
Couleur des cheveux Blond (un cadeau de sa mère)
Couleur des yeux Emeraude (aussi un cadeau de sa mère)

Aime/déteste Aime : Les griffons, les caravelles, les uniformes, l'honneur, l'exotisme, les voyages, sa famille, son peuple, la propreté

Déteste : les pirates, les rebelles, les trahisons, la nourriture de Ryoshima, l'alcool, les nobles alryonnais, le désordre
Qualités ou défauts Bienveillant - Progressiste (pour un alryonnais) - Fier - Ambitieux - Cupide - Vindicatif - Très mauvais sens de l'orientation - Honorable - Buté - Passionné - Gentleman - Curieux - Maladroit - Pieux - Patriote
Description psychologique À l’image de son père, le prince est un jeune homme fier et ambitieux. Il ne laisserait pas sa place ou son pouvoir pour rien au monde et se battra jusqu’au dernier souffle pour le conserver. Même si cela va à l’encontre de son idéologie ou de ses valeurs.

Néanmoins, Léonard est aussi une personne idéaliste et progressiste. Il désire ardemment faire évoluer certaines mentalités de son peuple sur plusieurs sujets. Si pour les étrangers d’Alryon, le prince reste d’un conservatisme affligeant, sur son bloc, c’est un des rares nobles de haut rangs soulignant les défauts de la société.

S’il n’a pas l’expérience et le pragmatisme de son père, il compense par une ardente passion dans la défense des causes qui lui tienne à cœur. Cela cause quelques conflits entre le prince et le roi, mais cela ne va jamais très loin, même s’il ne tombe que rarement d’accord.

Il est cependant d’une grande loyauté envers son père et sa famille, et ne les trahira jamais. Enfin, plutôt, il ne les trahira jamais en premier. Si un membre de sa famille tente quoi que ce soit contre Léonard ou son autorité, le prince se montrera implacable. Il n’est pas vraiment du genre à se laisser faire.

Il aime profondément son peuple et fait son possible pour améliorer la qualité de vie des plus démunie. En-tout-cas, c’est ce qu’il dit et il a même réussi à s’en persuader. La base de cet amour et de ces gestes tient, à la base, d’un certain pragmatisme. Il désire l’admiration du peuple pour gagner en poids et en influence. C’est sur cette base purement égoïsme que c’est bâti sa « générosité ».


Léonard est aussi atteint d’un trouble exceptionnel compulsif qui le pousse à aimer l’ordre et la propreté, même au-delà de la raison. Il est particulièrement à cheval là-dessus et ses serviteurs le savent pertinemment. Il a la critique facile sur ce genre de sujet, même si cela outre-passe la politesse.

Depuis la mort brutale de son meilleur ami, Edward Howe, le jeune prince à une passion malsaine dans la traque et l’anéantissement des pirates et autres hors-la-loi. La façon inhumaine dont il traite ce genre de racaille est d’ailleurs bien souvent considérée comme trop zélé même au sein de l’armée royale.


Cependant, Léonard a un autre visage en privé ou avec ses proches (mise à part son père, auquel il ne veut que montrer le meilleur de lui-même), il peut se montrer extrêmement maladroit, rongé par les remords et semble se détester pour ce qu’il fait. Il est persuadé, parfois à raison, de ne jamais être à la hauteur de ses ancêtres et qu’il pourrait même être le dernier roi Blackwood s’il continuait à se montrer aussi incompétent. Il a peur. Peur de l’avenir, peur du souvenir qu’il laissera. 

Histoire Il y a de cela 22 années, en l’an 133, Valérie Blackwood, reine d’Alryon et épouse du roi Nathaniel Blackwood, donna naissance à un jeune garçon. Son père décida de le nommer en l’honneur de son frère aîné, Léonard.
Puisqu’il était le premier enfant mâle (et légitime) du roi Blackwood, il reçut, dès sa naissance, le titre de prince-hériter.

Elevé dans la plus pure tradition royale, il fut soumis au professorat d’impitoyables tuteurs dès qu’il fut capable de marcher.
Il se montre être quelqu’un dont l’instruction est plutôt facile. Il se montre doué dans les études théoriques et l’étiquette. Il apprend aussi à se battre tant à l’épée qu’à la lance, même si c’est cette dernière qui devient son arme de prédilection.

Cependant, cette enfance s’accompagne aussi de nombre de prétendus amis parmi les jeunes garçons de la noblesse. Convaincu que ces enfants n’ont rien en commun avec lui, il ne peut que les prendre de haut et ne jamais les considéré comme ses amis.
Le seul en qui il avait confiance était le fils d’un baron, Edward Howe. Un noble sympathique qui devint rapidement son confident et meilleur ami. Le jeune garçon possédait une certaine aura de loyauté qui attirait la confiance de Léonard.

Pour ce qui était du point de vue matrimonial, tôt dans son enfance, il dût même se fiancé une princesse d’un bloc allié, alors que cette dernière n’était même pas capable de prononcer le moindre mot. Si dans un premier temps, le petit prince n’était pas vraiment enchanté par la nouvelle, il apprit à composer avec en grandissant.

A 15 ans, il commença son introduction officielle dans le monde politique. Par chance, son éducation l’avait préparé et il réussit à s’en sortir sans dommage. Fier de lui, son père voulait lui offrir un présent. Léonard osa alors demander un griffon. En effet, jusqu’alors, son père avait toujours refusé cette demande du prince. Sans doute était-ce lié à la mort de son oncle ? Quoiqu’il en soit, le roi ne put lui refuser cette fois, et Léonard eut, pour la première fois, son propre griffon. Le nom de la noble bête fut Anton et il devint la monture attitrée de Son Altesse princière.

A 18 ans, Léonard rejoint l’armée royale. Il veut se forger une réputation, mais aussi, et surtout, protéger son peuple. Malheureusement, son nom et son sang lui font défaut. Il est nommé à un poste en sécurité.

Il doit jouer de son autorité pour être nommé, un an plus tard, capitaine de sa propre caravelle. Il part alors à la traque aux pirates, pensant facilement s’arroger honneur et gloire dans de justes combats. Malheureusement, il se rend alors compte de la différence entre le monde réel et ce qu’il imaginait.
Lors de son premier combat contre les criminels des airs, il voit son ami et second, Edward Howe, être égorgé par un pirate. Cette action impactera grandement le prince qui se montrera bien plus impitoyable avec les criminels, spécialement les pirates, dont il réserve un sort horrible.

Pendant les trois années suivantes, il voyage entre les nobles salles de bal et sa caravelle. Il regarde de plus en plus avec d’hostilité la colonie de New Cresthill et ses mouvements rebelles et indépendantistes de plus en plus bruyant. Peut-être serait-il temps de remettre de l’ordre là-bas.

Vous Bonjour ! J'ai été enlevé par la créatrice, à l'aide !

Sinon, j'aime le lore, le thé et les cookies :3